Bumblebee, une histoire d’amitie qui roule entre une ado et un vehicule

REVUE COMPTABLES – J’ai critique se montre assez elogieuse dans le spin-off d’une saga Transformers. Elle salue la douceur de votre film qui fleure bon les annees 1980 et son recours raisonnable aux effets speciaux, malgre 1 scenario juge via Quelques un brin leger.

Les critiques seraient-ils gagnes avec l’atmosphi?re de Noel? En tout cas, une bonne part d’entre eux ont aime Bumblebee, le spin-off une collection de films Transformers. Dans ce long-metrage realise avec Travis Knight et dont l’action se deroule en 1987, Charlie (Hailee Steinfeld), une jeune fille devastee par la fond de le pere, se lie d’amitie avec Bumblebee, une Coccinelle jaune cabossee de naissance extraterrestre, capable de se transformer en robot. Tous deux vont se reconstruire mutuellement, tout en luttant contre les mechants Decepticons ayant jure Notre perte de l’attachant Autobot aux grands yeux bleus.

Enthousiaste, L’Obs salue 1 «prequel a l’intrigue comprehensible» qui tranche avec «l’eprouvante saga Transformers» par sa mise la mise en scene «elegante, subtile, bourree de jolies idees». Exemple de trouvaille lumineuse: «Le robot auquel fut greffe 1 autoradio s’exprime par l’intermediaire des tubes de l’epoque, dont ceux, sublimes, des Smiths». «Une surprise aussi bonne qu’inattendue», conclut le magazine. 20 Minutes plebiscite egalement J’ai bande-son, qui «donne 1 parfum joyeusement nostalgique a un ensemble fort rejouissant, melant Bon Jovi ou Duran Duran». Un cocktail «tellement entrainant qu’on espere je veux voir Travis Knight poursuivre la saga Transformers !», s’enthousiasme Caroline Vie.

« Un divertissement ultra-classique mais agreablement modeste »

Telerama a aussi pris gout a une telle «histoire d’amitie amusante et pleine les meilleurs sentiments entre une jeune fille en deuil et son compagnon d’acier», qui constitue «un divertissement ultra-classique mais agreablement modeste». Bumblebee reussit le tour de force de seduire meme ceux qui partaient avec d’importants a priori a le encontre: «avec toute l’honnetete qu’on devra a ses lecteurs, il est evident que J’ai perspective de l’indulgence, voire de l’amusement, n’etait jamais au programme, sur le long chemin menant a Notre salle», admet Frederic Mignard, du website A Voir a lire.

Apres visionnage, le critique a totalement change d’avis: «Bumblebee s’impose tel la comedie americaine la plus divertissante et la plus sereine de son epoque de Noel», ecrit-il. Pourquoi 1 tel enthousiasme? Parce que «Bumblebee reste l’authentique reussite qui mettra la totalite des spectateurs d’accord. Paramount donne a J’ai franchise la chance de flirter avec l’ensemble des genres facetieux» des annees 80: «aventure extraterrestre a Notre E.T., le teen movie mignon, avec romance joliment maladroite, l’odyssee domestique qui rend hommage au plus beau des ages, l’adolescence, l’action costaude au milieu des gros bras benets de montagnes a muscles comme le Schwarzy de Commando».

Un film sobre en effets speciaux

« Maladroit et naif, Bumblebee nous fait peur, nous fait rire, nous emeut. Bref, Cela reste 1 grand personnage »

Hubert Heyrendt, J’ai Libre Belgique

Meme entrain du cote du quotidien belge J’ai Libre Belgique qui salue «une pure reussite», la soiree parvenant tout de meme a «rendre attachant» 1 «robot jaune». «Maladroit et naif, Bumblebee nous fera peur, nous fait rire, nous emeut. Bref, c’est 1 grand personnage», se rejouit Hubert Heyrendt.

J’ai presse aime majoritairement que Travis Knight soit nombre moins porte i  propos des effets speciaux que Michael Bay, le realisateur des cinq premiers films Transformers. «Les quelques scenes d’action paraissent bien rythmees et jouissent de la retenue qui manquait franchement a toutes les derniers volets de la saga – Travis Knight n’a Par exemple nullement herite de l’amour inconditionnel de Michael Bay pour des explosions – en particulier celles ou le robot et ses assaillants font l’etalage de leurs talents de transformistes», releve IGN France.

Mes critiques saluent avec ailleurs, quasi unanimement, la prestation en jeune Hailee Steinfeld, jugee «excellente» au role de Charlie avec Cinema teaser . On a bien ainsi note quelques notes dissonantes dans votre festival d’eloges. «Si l’heroine est assez travaillee pour toucher l’auditoire, les personnages secondaires sont plus cliches: le petit frere tete a claques, la maman en crise avec son ado, le beau-pere depasse ou le coloc’ amoureux fou, mais maladroit, seront moins bien documents que la jeune fille, et cela cree 1 decalage de ton assez maladroit», regrette en particulier Premiere .

Notre Parisien s’inscrit en opposition avec la tonalite generale des articles sur le film avec 1 papier particulierement virulent. Selon Renaud Baronian, le long-metrage, «destine a un public plus jeune que d’ordinaire», cumule les defauts: «scenario de la legerete navrante, repliques idiotes, voire debiles, effets speciaux spectaculaires mais envahissants, volume sonore assourdissant…» Hormis cette critique assassine, limite l’ensemble de, y compris Le Monde , voient en Bumblebee «un candidat inattendu a la treve familiale de fin d’annee».

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